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Jul 04, 2023Une taxe sur les banques italiennes
Une vue générale de la tour UniCredit à Milan, Italie le 8 mars 2020. REUTERS/Flavio Lo Scalzo/File photo acquérir des droits de licence
LONDRES, 9 août (Reuters Breakingviews) - Le gouvernement italien s'est empressé d'apaiser les investisseurs bancaires effrayés par sa taxe inconsidérée sur les plus-values bancaires. La nouvelle que le gouvernement prévoyait d'imposer un prélèvement unique sur la croissance des revenus nets d'intérêts des prêteurs, le montant que les banques gagnent en prêtant moins ce qu'elles paient aux déposants, a fait chuter les actions de groupes comme Intesa Sanpaolo (ISP.MI) mardi, avec Banca Monte dei Paschi di Siena (BMPS.MI) en baisse jusqu'à 10 %.
Le gouvernement a annoncé que le prélèvement serait plafonné à 0,1 % du total des actifs. Si c'était le cas, et si cela s'appliquait aux activités des banques italiennes, le montant total s'élèverait à un peu moins de 2 milliards d'euros, selon UBS. Cela représente moins de la moitié des estimations de certains analystes mardi, et est conforme à l'objectif du gouvernement. C'est un signe rassurant que le gouvernement dirigé par Giorgia Meloni réagit aux signaux du marché.
Pourtant, les actions bancaires ne se sont que partiellement redressées. La capitalisation boursière combinée de seulement cinq banques de taille moyenne à grande - Intesa, UniCredit (CRDI.MI), Bper Banca (EMII.MI), Banco BPM (BAMI.MI) et MPS - a baissé de plus de 4 milliards d'euros depuis la la taxe a été annoncée pour la première fois, soit le double du montant probable. C’est peut-être parce que les investisseurs craignent que d’autres choses se produisent. Plus fondamentalement, la volonté des politiciens de jouer avec la rentabilité des banques brouille les arguments d’investissement des investisseurs : les banques gagnent moins d’argent lorsque les taux baissent et les marges d’intérêt diminuent, mais elles deviennent des cibles faciles dès que les taux augmentent. (Par Neil Unmack)
(L’auteur est un chroniqueur de Reuters Breakingviews. Les opinions exprimées sont les leurs.)
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Montage par Francesco Guerrera et Streisand Neto
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